A toutes les femmes,
Alors que nous entrons dans le mois d’octobre, un mois qui résonne particulièrement pour nous et avec toutes les femmes du monde entier, je souhaite aborder un sujet d’une importance capitale : Octobre Rose. Cette campagne est dédiée à la sensibilisation et à la prévention du cancer du sein.
Le cancer du sein est un cancer insidieux, qui peut se développer sans autre symptôme qu’une gêne, un manque de souplesse, ou une tuméfaction dans le sein que l’on sent sous la douche. Toutefois, une douleur peut parfois apparaître. Cela peut aller d’un léger inconfort à une souffrance importante, sans forcément avoir un rapport avec la gravité du cancer. Il peut s’agir de douleurs directement liées à la tumeur elle-même et ses conséquences, mais aussi à des complications, des métastases, et parfois aux effets secondaires des traitements indispensables. Les propositions de traitement sont adaptées et personnalisées.
Chaque femme est unique et reste la seule personne experte dans l’évaluation de sa douleur et de l’efficacité des traitements.
À tout moment, surtout si cela pose question ou inquiète, une douleur qui s’installe ou persiste justifie toujours un avis médical : elle ne doit pas être banalisée alors qu’il existe des recours pour la diminuer. Sous-estimées, elles peuvent avoir un retentissement sur la qualité de vie, même avec un traitement anti-cancéreux efficace. Leur prise en charge est donc essentielle et peut s’anticiper.
Certaines lésions ou cicatrices peuvent créer des sensations de décharges électriques, d’hypersensibilité de la peau, de brûlure, ou des fourmillements. Les chimiothérapies peuvent parfois en être responsables, souvent aux pieds ou aux mains. Cela provient d’une réaction du système nerveux qui est irrité ou endommagé : on les appelle des douleurs neuropathiques. Leur traitement peut surprendre car il repose sur des antidépresseurs ou des antiépileptiques, qui agissent au bout de quelques semaines. Lorsque ces douleurs neuropathiques sont localisées, comme par exemple autour d’une cicatrice, on peut aussi discuter d’un recours à des traitements locaux pour éviter les médicaments.
Le corps d’une femme est une œuvre d’art vivante, une symphonie complexe d’énergie et de matière. Chaque cellule, chaque organe, chaque centimètre carré de la peau vibre avec une énergie unique. Les cicatrices, qu’elles soient petites ou grandes, peuvent perturber cette harmonie subtile. Lorsqu’une femme subit une mastectomie ou une autre intervention chirurgicale pour traiter le cancer du sein, ces cicatrices laissées derrière elles sont des interruptions dans le flux énergétique naturel du corps. Cette perturbation de l’énergie peut se manifester par une fatigue profonde, inexpliquée et persistante, qui affecte la qualité de vie de nombreuses survivantes.
Heureusement, il existe des moyens de rétablir et d’harmoniser la circulation énergétique à l’endroit même où ces cicatrices résident. C’est ici que l’énergie quantique du Reiki entre en jeu. Cette forme de soin énergétique a démontré son efficacité dans le rétablissement de l’équilibre énergétique du corps et de l’esprit. Octobre rose, le reiki pour vous soutenir.
Le Reiki est un merveilleux outil qui peut se révéler être un puissant allié dans votre combat contre le cancer du sein. Il peut vous aider à renforcer vos défenses immunitaires, à réduire les effets secondaires de la chimiothérapie, et à accélérer votre processus de guérison. Il n’est pas toujours facile de se reconstruire physiquement comme mentalement, qu’il y ait eu ablation du sein ou non.
Le Reiki peut vous aider à vous réapproprier votre corps, votre féminité, et votre amour pour vous-même.
En ce mois d’Octobre Rose, prenons soin de notre énergie féminine et soutenons toutes les femmes dans leur parcours de guérison. 🌸
Avec tout mon soutien, Diana
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